mercredi 30 mai 2012
Francis Bacon
Libellés :
Francis Bacon,
maler,
painter,
peintre
Francis Bacon
à
07:23
0
commentaires
Publié par
bernie
Edgar Degas
Libellés :
Edgar Degas,
maler,
painter,
peintre,
pintor
à
07:08
0
commentaires
Publié par
bernie
Francis bacon - Lucian Freud
Libellés :
Francis Bacon,
Lucian Freud,
painter,
painting,
peintre
Francis Bacon - Lucian Freud
Three Studies for a Portrait of Lucian Freud by Francis Bacon
Study of Head of Lucian Freud by Francis Bacon, 1967
Three Studies for a Portrait of Lucian Freud by Francis Bacon
Portrait of Lucian Freud on Orange Couch by Francis Bacon, 1965
Portrait of Lucian Freud by Francis Bacon, 1965
Portrait of Lucian Freud by Francis Bacon, 1951
Three Studies for a Portrait of Lucian Freud by Francis Bacon
Study of Head of Lucian Freud by Francis Bacon, 1967
Portrait of Lucian Freud by Francis Bacon, 1973
Portrait of Lucian Freud by Francis Bacon, 1965
Portrait of Lucian Freud by Francis Bacon, 1951
à
06:56
0
commentaires
Publié par
bernie
mardi 29 mai 2012
Francis Bacon
Francis Bacon 1909 -1992
Francis Bacon - Self Portrait 1973
"My painting is a representation of life, my own life above all, which has been very difficult. So perhaps my painting is very violent, but this is natural to me."
Francis Bacon Quote
Francis Bacon - Figure Writing Reflected in a Mirror, 1976
198 x 148 cm
Three Portraits-
Posthumous Portrait of George Dyer, Self-Portrait, Portrait of Lucian Freud,
1973
oil on canvas, 198 x 147.5 cm (each),
private collection
private collection
à
07:47
0
commentaires
Publié par
bernie
lundi 28 mai 2012
Erlkönig - Franz Schubert
Libellés :
Franz Schubert
Franz Schubert 1797-1828
Le Roi des aulnes (Erlkönig en allemand) est un poème de Johann Wolfgang von Goethe écrit en 1782.
Il a été mis en musique (Lied) en 1815 par Franz Schubert (Der Erlkönig, op. 1 (D. 328)).
Erlkönig.
Wer reitet so spät durch Nacht und Wind?
Es ist der Vater mit seinem Kind;
Er hat den Knaben wohl in dem Arm,
Er faßt ihn sicher, er hält ihn warm.
Siehst, Vater, du den Erlkönig nicht?
Den Erlenkönig mit Kron’ und Schweif? —
Mein Sohn, es ist ein Nebelstreif. —
„Du liebes Kind, komm, geh mit mir!
Manch’ bunte Blumen sind an dem Strand,
Meine Mutter hat manch gülden Gewand.“ —
Mein Vater, mein Vater, und hörest du nicht,
Was Erlenkönig mir leise verspricht? —
In dürren Blättern säuselt der Wind. —
„Willst, feiner Knabe, du mit mir gehn?
Meine Töchter sollen dich warten schön;
Meine Töchter führen den nächtlichen Reihn
Mein Vater, mein Vater, und siehst du nicht dort
Erlkönigs Töchter am düstern Ort? —
Mein Sohn, mein Sohn, ich seh’ es genau:
Es scheinen die alten Weiden so grau. —
Und bist du nicht willig, so brauch’ ich Gewalt.“ —
Mein Vater, mein Vater, jetzt faßt er mich an!
Erlkönig hat mir ein Leids getan! —
Dem Vater grauset’s; er reitet geschwind,
Erreicht den Hof mit Mühe und Not;
In seinen Armen das Kind war tot.
Le Roi des aulnes (Erlkönig en allemand) est un poème de Johann Wolfgang von Goethe écrit en 1782.
Il a été mis en musique (Lied) en 1815 par Franz Schubert (Der Erlkönig, op. 1 (D. 328)).
Erlkönig.
Wer reitet so spät durch Nacht und Wind?
Es ist der Vater mit seinem Kind;
Er hat den Knaben wohl in dem Arm,
Er faßt ihn sicher, er hält ihn warm.
5
Mein Sohn, was birgst du so bang dein Gesicht? —Siehst, Vater, du den Erlkönig nicht?
Den Erlenkönig mit Kron’ und Schweif? —
Mein Sohn, es ist ein Nebelstreif. —
„Du liebes Kind, komm, geh mit mir!
10
Gar schöne Spiele spiel’ ich mit dir;Manch’ bunte Blumen sind an dem Strand,
Meine Mutter hat manch gülden Gewand.“ —
Mein Vater, mein Vater, und hörest du nicht,
Was Erlenkönig mir leise verspricht? —
15
Sei ruhig, bleibe ruhig, mein Kind;In dürren Blättern säuselt der Wind. —
„Willst, feiner Knabe, du mit mir gehn?
Meine Töchter sollen dich warten schön;
Meine Töchter führen den nächtlichen Reihn
20
Und wiegen und tanzen und singen dich ein.“ —Mein Vater, mein Vater, und siehst du nicht dort
Erlkönigs Töchter am düstern Ort? —
Mein Sohn, mein Sohn, ich seh’ es genau:
Es scheinen die alten Weiden so grau. —
25
„Ich liebe dich, mich reizt deine schöne Gestalt;Und bist du nicht willig, so brauch’ ich Gewalt.“ —
Mein Vater, mein Vater, jetzt faßt er mich an!
Erlkönig hat mir ein Leids getan! —
Dem Vater grauset’s; er reitet geschwind,
30
Er hält in Armen das ächzende Kind,Erreicht den Hof mit Mühe und Not;
In seinen Armen das Kind war tot.
à
08:34
0
commentaires
Publié par
bernie
mardi 22 mai 2012
William Merritt Chase
Libellés :
maler,
painter,
peintre,
pintor,
William Merritt Chase
William Merritt Chase (American, 1849 - 1916)
William Merritt Chase
(American 1849-1916 )
Dora Wheeler 1882-1883
painting
William Merritt Chase
(American 1849-1916 )
Dora Wheeler 1882-1883
painting
à
06:38
0
commentaires
Publié par
bernie
dimanche 20 mai 2012
Max Pechstein, Dans la forêt près de Moritzburg, 1909
Libellés :
maler,
Max Pechstein,
painter,
peintre
Max Pechstein
Max Pechstein, Dans la forêt près de Moritzburg, 1909
Réalisé le même été que Le Maillot noir, ce tableau évoque le
repos, l'insouciance et la sensualité, incarnés par la présence d'un
homme et de deux femmes, l'une allongée dans un hamac, l'autre sur une
serviette de bain. Pour se libérer des contraintes de la société et
vivre en harmonie avec la nature, les artistes du groupe cherchaient des
lieux tranquilles ; les lacs et les forêts autour de Moritzburg, près
de Dresde, furent un véritable paradis pour eux.
Cette œuvre
puissante frappe par la vitalité de ses couleurs et l'extrême rapidité
d'exécution qu'elle suggère. Appliquée en larges coups de pinceau, la
touche laisse transparaître le blanc de la toile et révèle la
spontanéité du geste. Le nu placé au premier plan est décrit dans un
raccourci dynamique particulièrement audacieux. Les longs cheveux de la
femme se prolongent par d'épaisses lignes noires qui deviennent les
rayures de la serviette jaune vif, comme un écho au maillot jaune et
noir du tableau précédent. La palette est très proche pour les deux
toiles, mais les couleurs sont utilisées ici avec une sorte de véhémence
pleine d'énergie et les formes sont résolument schématisées.
Les
corps cernés de noir et les traits des visages réduits à quelques tracés
attestent du changement radical survenu dans la démarche de Pechstein.
Le hamac à l'arrière-plan est un motif qui apparaît de manière
récurrente dans les œuvres expressionnistes. Elément de vie quotidienne
dans des contrées lointaines depuis des siècles, son caractère exotique
incarnait pour les peintres un idéal de liberté et de retour à la
nature.
( d'après musée de Grenoble )
à
22:40
0
commentaires
Publié par
bernie
Die Brücke
Die Brücke [1905-1914]
Erich Heckel (1883-1970)
Jeune homme et jeune fille
, 1909
Huile sur toile - 70,5 x 80,4 cm
Berlin, Brücke-Museum
Max Pechstein (1881-1955)
Le Maillot jaune et noir
, 1909
Huile sur toile - 68 x 78 cm
Berlin, Brücke Museum
Ernst Ludwig Kirchner (1880-1938)
Nu allongé devant un miroir
, 1909-1910
Huile sur toile - 83,3 x 95,5 cm
Berlin, Brücke Museum
Die Brücke est le premier mouvement
d'avant-garde allemand et l'initiateur d'un des courants artistiques
majeurs du XXe siècle : l'expressionnisme.
Créé à Dresde
en juin 1905 par Ernst Ludwig Kirchner, Fritz Bleyl, Karl
Schmidt-Rottluff et Erick Heckel et rejoint ensuite notamment par Max
Pechstein, Emil Nolde, Cuno Amiet et Otto Mueller, ce groupe se définit
avant tout par son rejet de l'art académique.Influencés par les œuvres de Van Gogh et de Munch autant que par les arts primitifs, ces artistes traduisent dans un style aux couleurs éclatantes et au graphisme résolument outré le rythme trépidant de la vie, celui du monde des origines en communion avec la nature comme celui des grandes villes et de leur atmosphère enfiévrée.
(d'après musée de Grenoble )
Die Brücke
Aux origines de l'expressionnisme
exposition du 30 mars au 17 juin 2012 musée de Grenoble
à
21:36
0
commentaires
Publié par
bernie
Die Brücke - Ernst Ludwig Kirchner
Libellés :
die brucke,
Ernst Ludwig Kirchner,
maler,
painter,
peintre
Die Brücke - Ernst Ludwig Kirchner(1880-1938)
Ernst Ludwig Kirchner (1880-1938)
L’Artiste Marcella, 1910
Huile sur toile- 101 x 76 cm
Berlin, Brücke Museum
Ernst Ludwig Kirchner (1880-1938)
A la terrasse du café, 1914
Huile sur toile - 70,5 x 76 cm
Berlin, Brücke Museum
Ernst Ludwig Kirchner (1880-1938)
L’Artiste Marcella, 1910
Huile sur toile- 101 x 76 cm
Berlin, Brücke Museum
Ernst Ludwig Kirchner (1880-1938)
A la terrasse du café, 1914
Huile sur toile - 70,5 x 76 cm
Berlin, Brücke Museum
à
21:12
0
commentaires
Publié par
bernie
Die Brücke 1905-1914
Die Brücke
Emil Nolde (1867-1956)
Maisons frisonnes I, 1910
Huile sur toile - 64 x 84 cm
Berlin, Brücke Museum
Cuno Amiet (1868-1961)
Nature morte aux fleurs, 1908
Huile sur toile - 40 x 32 cm
Berlin, Brücke Museum
Emil Nolde (1867-1956)
Maisons frisonnes I, 1910
Huile sur toile - 64 x 84 cm
Berlin, Brücke Museum
Cuno Amiet (1868-1961)
Nature morte aux fleurs, 1908
Huile sur toile - 40 x 32 cm
Berlin, Brücke Museum
à
18:46
0
commentaires
Publié par
bernie
samedi 19 mai 2012
Johannes Brahms - Ein deutsches Requiem
Libellés :
Johannes Brahms,
Komponist,
Pianist
à
08:19
0
commentaires
Publié par
bernie
vendredi 18 mai 2012
De Bach à Britten - Dietrich Fischer-Dieskau
Libellés :
baryton,
Dietrich Fischer-Dieskau,
music,
musique
Dietrich Fischer-Dieskau 1925-vendredi 18 mai 2012
( deutsch )
( deutsch )
Dietrich Fischer-Dieskau: a guide in clips
à
17:05
0
commentaires
Publié par
bernie
Pablo Picasso - etchings
Pablo Picasso 1881-1973
à
07:26
0
commentaires
Publié par
bernie
Pablo Picasso - Nude Woman with Necklace 1968
Pablo Picasso- (1881‑1973)
Pablo Picasso - Nude Woman with Necklace 1968
Femme nue au collier
Oil on canvas
1135 x 1617 mm
Tate
à
07:17
0
commentaires
Publié par
bernie
John Constable
Libellés :
John Constable,
maler,
painter,
peintre,
pintor
à
06:57
0
commentaires
Publié par
bernie
mardi 15 mai 2012
Rameau - Overture to Les Indes Galantes (1735)
Libellés :
jean philippe rameau,
music,
musician,
musicien
J.-Ph. Rameau
Overture to Les Indes Galantes (1735)
à
10:56
0
commentaires
Publié par
bernie
Richard Hamilton - The state
Richard Hamilton 1922-2011
Richard Hamilton - The state
MediumOil, enamel and mixed media on cibachrome on canvas
Dimensionssupport (1): 2000 x 1000 mm
support (2): 2000 x 1000 mm
Collection
Tate
Acquisition Purchased 1993
à
08:33
0
commentaires
Publié par
bernie
Richard Hamilton
Libellés :
collage artist,
maler,
painter,
peintre,
pintor,
Richard Hamilton
à
08:25
0
commentaires
Publié par
bernie
Richard Hamilton - Interior II 1964
Libellés :
collage artist,
maler,
painter,
peintre,
Richard Hamilton
Richard Hamilton 1922-2011
Like Hamilton’s later prints, A dedicated follower of fashion, 1980 (Tate P07448) and The marriage, 1998 (P78290), the painting Interior II was
developed from a discarded photograph the artist discovered by chance.
Hamilton was teaching art at Newcastle Polytechnic when he found a still
from the film Shockproof (1949,
director Douglas Sirk, screenplay by Samuel Fuller) lying on a
classroom floor. The 1948 photograph became the generator for a series
of works playing on the representation of an interior space. Hamilton
was struck by the carefully arranged composition of the still,
photographed in a specially constructed set. He explained:
Everything in the photograph converged on a girl in a ‘new look’ coat who stared out slightly to right of camera. A very wide-angle lens must have been used because the perspective seemed distorted; but the disquiet of the scene was due to two other factors. It was a film set, not a real room, so wall surfaces were not explicitly conjoined; and the lighting came from several different sources. Since the scale of the room had not become unreasonably enlarged, as one might expect from the use of a wide-angle lens, it could be assumed that false perspective had been introduced to counteract its effect – yet the foreground remained emphatically close and the recession extreme…
Everything in the photograph converged on a girl in a ‘new look’ coat who stared out slightly to right of camera. A very wide-angle lens must have been used because the perspective seemed distorted; but the disquiet of the scene was due to two other factors. It was a film set, not a real room, so wall surfaces were not explicitly conjoined; and the lighting came from several different sources. Since the scale of the room had not become unreasonably enlarged, as one might expect from the use of a wide-angle lens, it could be assumed that false perspective had been introduced to counteract its effect – yet the foreground remained emphatically close and the recession extreme…
à
08:19
0
commentaires
Publié par
bernie
lundi 14 mai 2012
Jules Ferry 1832-1893
Libellés :
Jules Ferry,
ministre,
politique
Jules Ferry 1832-1893
Jules Ferry (1832-1893): Avocat, journaliste, Jules Ferry est un républicain sincère. En 1868, il publie une célèbre brochure : Les comptes fantastiques d'Haussmann. Membre du gouvernement de la Défense Nationale après le 4 septembre 1870 et maire de paris, il organise le rationnement. Devenu de ce fait impopulaire, "Ferry la Famine" doit quitter la ville au moment de la Commune en 1871. Député des Vosges à partir de 1876, il est l'un des chefs des "opportunistes" et l'un des "pères de la IIIème République". Ministre de l'Instruction Publique de 1879 à 1883, Président du Conseil de 1880 à 1881 et de 1883 à 1885, il joue en effet un rôle essentiel dans l'adoption des grandes lois républicaines, notamment en matière d'instruction. Il fait voter l'obligation, la gratuité et la laïcité de l'enseignement primaire, créée l'enseignement secondaire des jeunes filles et réorganise l'enseignement supérieur. Il engage la France dans une politique d'expansion : la Tunisie, Madagascar, le Congo, le Soudan et le Tonkin passent sous protectorat français. En 1885, il est renversé par les adversaires de sa politique coloniale à cause d'un échec en Indochine et il compte parmi ses adversaires les plus acharnés Georges Clemenceau. Surnommé "le Tonkinois", il échappe de justesse à un attentat en 1887 et il est battu aux élections de 1889 par un candidat boulangiste. Il ne peut par la suite revenir au premier plan, bien qu'il soit élu Président du Sénat en 1893.
Jules Ferry (1832-1893): Avocat, journaliste, Jules Ferry est un républicain sincère. En 1868, il publie une célèbre brochure : Les comptes fantastiques d'Haussmann. Membre du gouvernement de la Défense Nationale après le 4 septembre 1870 et maire de paris, il organise le rationnement. Devenu de ce fait impopulaire, "Ferry la Famine" doit quitter la ville au moment de la Commune en 1871. Député des Vosges à partir de 1876, il est l'un des chefs des "opportunistes" et l'un des "pères de la IIIème République". Ministre de l'Instruction Publique de 1879 à 1883, Président du Conseil de 1880 à 1881 et de 1883 à 1885, il joue en effet un rôle essentiel dans l'adoption des grandes lois républicaines, notamment en matière d'instruction. Il fait voter l'obligation, la gratuité et la laïcité de l'enseignement primaire, créée l'enseignement secondaire des jeunes filles et réorganise l'enseignement supérieur. Il engage la France dans une politique d'expansion : la Tunisie, Madagascar, le Congo, le Soudan et le Tonkin passent sous protectorat français. En 1885, il est renversé par les adversaires de sa politique coloniale à cause d'un échec en Indochine et il compte parmi ses adversaires les plus acharnés Georges Clemenceau. Surnommé "le Tonkinois", il échappe de justesse à un attentat en 1887 et il est battu aux élections de 1889 par un candidat boulangiste. Il ne peut par la suite revenir au premier plan, bien qu'il soit élu Président du Sénat en 1893.
à
07:14
0
commentaires
Publié par
bernie
dimanche 13 mai 2012
Henri Matisse
Henri Matisse
1869 - 1954
La Leçon de peinture or La Séance de peinture
[The Painting Lesson or The Painting Session]
1919,
size 73.40 x 92.20 cm (framed: 95.10 x 114.50 x 8.90 cm)
National Galleries of Scotland
National Galleries of Scotland
This is one of thirty paintings made by Matisse in a hotel room in Nice.
The velvety black background highlights the mirror and gives an
unusual, almost inverted sense of inside and outside space. The 'real'
space of the room is dark and flattened while the flat mirror is alive
with the reflection of flowers, a tree and the sea outside the window.
The artist depicted to the left is presumably Matisse himself, painting
the scene on his canvas. The young woman absorbed in her book is his
eighteen-year-old model, Antoinette Arnoux.
à
08:10
0
commentaires
Publié par
bernie
mercredi 9 mai 2012
Hans Holbein the Younger - Noli me tangere
Hans Holbein the Younger 1498–1543
Noli me tangere (1524)
Jesus recoils when Mary Magdalene wants to
touch him: Noli me tangere – touch me not. In the Gospel of Matthew Mary
grasps Jesus by the feet. It is assumed that the text was not
translated properly from the Greek (ref. Titian's version).
In the background John and Peter (r.) hurry back after having found the grave empty.
In the background John and Peter (r.) hurry back after having found the grave empty.
Holbein may have painted this panel while in France, trying to get a position at the court of Francis I.
Royal Collection, Hampton Court
à
08:43
0
commentaires
Publié par
bernie
mardi 8 mai 2012
Thomas Gainsborough - 1772 The Linlay sisters
Thomas Gainsborough
The Linley Sisters
Thomas Gainsborough
- 1772
Dulwich Picture Gallery (England)
Painting - oil on canvas
Height: 200 cm (78.74 in.), Width: 153 cm (60.24 in.)
Dulwich Picture Gallery (England)
Painting - oil on canvas
Height: 200 cm (78.74 in.), Width: 153 cm (60.24 in.)
à
15:26
0
commentaires
Publié par
bernie
Brueghel, Jan The Elder (1568-1625)
Brueghel, Jan The Elder (1568-1625)
Jan Brueghel l'Ancien (ou Jan Brueghel l’Aîné), dit Brueghel de Velours
Still Life with Flowers in a Glass
Oil on copper
24,5 x 19 cm
Rijksmuseum, Amsterdam
Still Life with Flowers in a Glass
Oil on copper
24,5 x 19 cm
Rijksmuseum, Amsterdam
Flowers in a Glass Vase
Jan Bruegel the Elder
- 1608
Private collection
Private collection
à
14:51
0
commentaires
Publié par
bernie
Francisco de Zurbaran - A Cup of Water and a Rose
Oil on canvas, about 1630
21.2 x 30.1 cm
à
07:21
0
commentaires
Publié par
bernie
Thomas Gainsborough
Thomas Gainsborough 1727 - 1788
Mr and Mrs William Hallett ('The Morning Walk')
Oil on canvas , 1785
236.2 x 179.1 cm
The national Gallery,London
Oil on canvas , about 1748
92.1 x 70.5 cm
The national Gallery,London
Oil on canvas , about 1752
50.2 x 60.3 cm
The national Gallery,London
à
07:03
0
commentaires
Publié par
bernie
lundi 7 mai 2012
dimanche 6 mai 2012
Jan Davidsz de Heem
Libellés :
Jan Davidsz de Heem,
maler,
painter,
peintre,
pintor
Jan Davidsz de Heem 1606-1684
En règle générale, lorsque la couleur est un adjectif, il s'accorde en genre et en nombre avec le nom.
Cependant, pour faire simple, certains noms sont assimilés à des adjectifs et s'accordent donc avec le nom qualifié. Ce sont : mauve, pourpre, rose, écarlate, fauve, vermeil et incarnat.
Jan Davidsz de Heem,
Nature morte avec fleurs dans un verre, vers 1675-80
Huile sur cuivre, 54,5 cm x 36,5 cm
Amsterdam, Rijksmuseum
Accord des couleurs
Les couleurs
L'accord des couleurs est loin d'être simple en français. On peut cependant distinguer les cas suivants.En règle générale, lorsque la couleur est un adjectif, il s'accorde en genre et en nombre avec le nom.
des étoffes
des souris vertes
Là où ça se complique, c'est lorsque l'adjectif en question est un
nom commun qui est pris adjectivement. En gros, l'adjectif est aussi un
nom. À ce moment-là, la couleur est invariable.des souris vertes
des yeux marron (de la couleur du marron)
des étoffes orange (de la couleur de l'orange)
On peut citer d'autres noms qui peuvent servir à exprimer une couleur
et qui sont invariables : abricot, ardoise, argent, azur, brique,
bronze, café, caramel, champagne, chocolat etc.des étoffes orange (de la couleur de l'orange)
Cependant, pour faire simple, certains noms sont assimilés à des adjectifs et s'accordent donc avec le nom qualifié. Ce sont : mauve, pourpre, rose, écarlate, fauve, vermeil et incarnat.
des étoffes mauves
Deux adjectifs employés pour désigner une seule couleur sont invariables.
des yeux bleu clair (sans trait d'union)
Si ce sont deux adjectifs de couleur, on met un trait d'union.
des yeux bleu-vert
On écrit "des balles rouge et bleu" si chaque balle comporte du rouge et du bleu. Mais, on écrit "des balles rouges et bleues" s'il y a des balles uniquement rouges et des balles uniquement bleues.
à
08:30
0
commentaires
Publié par
bernie
jeudi 3 mai 2012
Edvard Munch
Libellés :
Edward Munch,
maler,
painter,
peintre,
pintor
Edvard Munch 1863-1944
The scream- Le cri
Pastel 1895
( il en existe plusieurs versions , 4 au total, dont 3 dans des musées norvégiens)
120 millions de dollars
91 millions d'euros
at Sotheby's in New York
à
07:33
0
commentaires
Publié par
bernie
mercredi 2 mai 2012
Tiziano e la nascita del paesaggio moderno
Tiziano e la nascita del paesaggio moderno
Tiziano Vecellio, dit le Titien (1489/1490-1576)
Vierge à l’enfant entre Sainte Catherine, Saint Dominique
et le donateur (Sainte Conversation), vers 1513
Huile sur toile,
Mamiano di Traversetolo (Parme), Fondazione Magnani Rocca
La toile, de grandes dimensions (138 x 185 cm), est l’une de ses premières œuvres magistrales, datable de 1512 environ. Elle se présente sous un nouveau jour puisqu’elle vient d’être restaurée et qu’elle laisse à nouveau transparaître à la fois la maestria du peintre et l’éclat des blancs présents aussi bien dans le vêtement de sainte Catherine que dans celui de saint Dominique. On peut néanmoins regretter que le manteau de la Vierge soit désormais une forme presque abstraite qui, au lieu de s’harmoniser avec la robe d’un rouge gorgé de lumière, semble se superposer à celle-ci. On retiendra toutefois la beauté du (morceau de) paysage rural situé dans la partie droite de l’œuvre. Celui-ci est à la fois verdoyant et bruni par la chaleur du soleil que l’on devine au-delà du haut talus. Il offre un havre paisible et ombragé, idéal repaire du pèlerin voyageur et ascète, enclin au recueil et à la contemplation au sein de la nature. Sa composition laisse d’ailleurs se détacher ostensiblement la flèche d’une église perdue dans le lointain bleuté. C’est là le repère du fidèle, incarné dans la nature. Celle-ci accompagne d’ailleurs le mouvement du saint et de l’adorateur (resté anonyme) vers la Vierge et l’enfant. Il en est l’écho, dans une forme schématique : les arbres couvrent les têtes de chaque saint, tandis que l’église, isolée, rappelle la place de la Vierge et de l’enfant face à eux. Le schéma de cette composition est jugé par Mauro Lucco, auteur de la notice – et de la plupart des notices du catalogue –, « traditionnel » et « dérivé de Giovanni Bellini ». Mais en même temps, il constitue un « modèle pour les formulations plus tardives » de Palma le vieux, un artiste dont on peut admirer une splendide Sainte Conversation (Gênes, Palazzo Rosso) quelques salles plus loin. Hormis ces considérations très génériques, l’auteur souligne combien l’œuvre semble articulée autour d’oppositions et de contrastes significatifs. Cela est tout à fait frappant en effet : le paysage s’oppose à une sorte de mur/rideau sombre et parallèle aux marges de la toile, découpant le tableau en deux zones distinctes et inégales ; les hommes se tiennent à l’extérieur tandis que les femmes sont isolées dans la pénombre ; le paysage vallonné et lumineux se détache au-delà de l’espace « intérieur » dépourvu de profondeur.
extrait de la tribune de l'art
Vierge à l’enfant entre Sainte Catherine, Saint Dominique
et le donateur (Sainte Conversation), vers 1513
Huile sur toile,
Mamiano di Traversetolo (Parme), Fondazione Magnani Rocca
La toile, de grandes dimensions (138 x 185 cm), est l’une de ses premières œuvres magistrales, datable de 1512 environ. Elle se présente sous un nouveau jour puisqu’elle vient d’être restaurée et qu’elle laisse à nouveau transparaître à la fois la maestria du peintre et l’éclat des blancs présents aussi bien dans le vêtement de sainte Catherine que dans celui de saint Dominique. On peut néanmoins regretter que le manteau de la Vierge soit désormais une forme presque abstraite qui, au lieu de s’harmoniser avec la robe d’un rouge gorgé de lumière, semble se superposer à celle-ci. On retiendra toutefois la beauté du (morceau de) paysage rural situé dans la partie droite de l’œuvre. Celui-ci est à la fois verdoyant et bruni par la chaleur du soleil que l’on devine au-delà du haut talus. Il offre un havre paisible et ombragé, idéal repaire du pèlerin voyageur et ascète, enclin au recueil et à la contemplation au sein de la nature. Sa composition laisse d’ailleurs se détacher ostensiblement la flèche d’une église perdue dans le lointain bleuté. C’est là le repère du fidèle, incarné dans la nature. Celle-ci accompagne d’ailleurs le mouvement du saint et de l’adorateur (resté anonyme) vers la Vierge et l’enfant. Il en est l’écho, dans une forme schématique : les arbres couvrent les têtes de chaque saint, tandis que l’église, isolée, rappelle la place de la Vierge et de l’enfant face à eux. Le schéma de cette composition est jugé par Mauro Lucco, auteur de la notice – et de la plupart des notices du catalogue –, « traditionnel » et « dérivé de Giovanni Bellini ». Mais en même temps, il constitue un « modèle pour les formulations plus tardives » de Palma le vieux, un artiste dont on peut admirer une splendide Sainte Conversation (Gênes, Palazzo Rosso) quelques salles plus loin. Hormis ces considérations très génériques, l’auteur souligne combien l’œuvre semble articulée autour d’oppositions et de contrastes significatifs. Cela est tout à fait frappant en effet : le paysage s’oppose à une sorte de mur/rideau sombre et parallèle aux marges de la toile, découpant le tableau en deux zones distinctes et inégales ; les hommes se tiennent à l’extérieur tandis que les femmes sont isolées dans la pénombre ; le paysage vallonné et lumineux se détache au-delà de l’espace « intérieur » dépourvu de profondeur.
extrait de la tribune de l'art
à
20:48
0
commentaires
Publié par
bernie
Inscription à :
Articles (Atom)