Katherine Mansfield ( link ) est née à Wellington en Nouvelle-Zélande en 1888.
Elle est morte en 1923 à Fontainebleau.
« Elle est morte toute jeune, ne laissant pour œuvres complètes que des nouvelles, un journal, des lettres, et pourtant elle est un grand écrivain, l’un de ceux qui ajoutent à la littérature anglaise de ce temps-ci le plus de vérité profonde, parce qu’elle savait que le naturel et la sincérité sont bien plus importants que l’éclat des mots, l’étrangeté des sentiments, la nouveauté des idées.
Sa technique n’était pas celle de ces romanciers anglais qui prennent une histoire au moment de la naissance du héros et la conduisent lentement, à travers une suite continue d’épisodes, vers une catastrophe finale ou vers les deltas lumineux de l’apaisement. Katherine Mansfield, elle, choisit une famille, un milieu, y fait une coupe dans le temps et nous décrit les impressions des êtres pendant le court moment choisi, sans nous renseigner sur eux autrement que par leurs pensées et leurs propos de cet instant. Dès la première ligne elle les fait parler, elle les nomme, sans faire aucun effort pour nous renseigner sur eux. Nous connaissons ses héros un peu comme nous connaissons, en chemin de fer, les gens de notre compartiment, ou au restaurant, ceux de la table voisine : en les reconstruisant par leurs propos. »
André Maurois.
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